mercredi, 8 septembre 2010

A méditer



Je me suis souvent sentie - et je me sens encore - comme un navire qui vient d'embarquer une précieuse cargaison ; on largue les amarres et le navire prend la mer, libre de toute entrave ; il relâche dans tous les pays et prend partout à son bord ce qu'il y a de plus précieux. On doit être sa propre patrie.

Je relaie ici une citation découverte grâce à Alexandre Jollien : les mots d'Etty Hillesum d'Une vie bouleversée.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Très belle photo. Bon vent