Yes, gagnant !
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lundi, 28 février 2011
dimanche, 27 février 2011
Retenir son souffle
Retenir son souffle, comme quand un ange passe...
Pas très habituée à m'inquiéter des résultats des Oscars ou des autres remises de récompenses, cette année* toutefois,j'espère que Colin Firth sera "couronné" à nouveau dans quelques heures...
Dans le rôle de Georges VI (The king's speech), l'acteur anglais attire les foules dans les salles et a de quoi faire trembler ces adversaires ! Ou les faire bégailler d'angoisse. Il excelle... Et le bégaiement à apprendre n'est pas rien, même si Colin Firth avait montré ses capacités dans la diction... (souvenez-vous, il s'en sort bien en portugais qu'il semble maîtriser à la fin de Love actually !!!)
* Tous les nominés sont ici.
Pas très habituée à m'inquiéter des résultats des Oscars ou des autres remises de récompenses, cette année* toutefois,j'espère que Colin Firth sera "couronné" à nouveau dans quelques heures...
Dans le rôle de Georges VI (The king's speech), l'acteur anglais attire les foules dans les salles et a de quoi faire trembler ces adversaires ! Ou les faire bégailler d'angoisse. Il excelle... Et le bégaiement à apprendre n'est pas rien, même si Colin Firth avait montré ses capacités dans la diction... (souvenez-vous, il s'en sort bien en portugais qu'il semble maîtriser à la fin de Love actually !!!)
* Tous les nominés sont ici.
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vendredi, 25 juin 2010
Après la première Indian Night de hier soir, quelques images du film présenté en début de soirée à voir absolument lors de sa sortie en salles : Vanaja de Rajnesh Domalpalli !
jeudi, 12 novembre 2009
L'effet "maçon"
Coup sur coup, les maçons du cinéma français, cet automne, font tourner la tête des jolies filles (Kristin Scott Thomas et Sandrine Kiberlain). Ayant vu Mademoiselle Chambon récemment, et faisant bêtement un parallèle, je pensais que ce dernier me toucherait moins que Partir. Tout faux. Au caractère extériorisé de Sergi Lopez, Jean (excellent Vincent Lindon) est tout dans la retenue face aux sentiments qui le ravagent. On éprouve comme lui du mal à respirer, on aimerait du fond de notre fauteuil alléger ses soupirs... - et on se souvient aussi des situations vécues, du "tomber amoureux" toujours et chaque fois difficile à vivre-. Le réalisateur, par quelques plans, laisse naître le sentiment amoureux. Il donne du poids au silence, contrastant avec la musique d'Elgar (Salut d'Amour). La justesse accompagne chaque scène, pas seulement celles réunissant le couple d'amants (en classe, en famille ou les instants que Jean accorde à son père) !
Une seule chose à faire, pour prolonger le moment délicat : lire le roman qui a permit à Stéphane Brizé de réaliser son film...

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