Ramer : au propre comme au figuré. L'aviron ? Une micro société. Le nouvel arrivant (un touriste qui n'a rien demandé) sur la frêle embarcation va vite déchanter : pris au piège, il essaie à maintes reprises de repartir à la nage. Pascal Schopfer, héroïque, mouillé durant toute la durée de la pièce, vit un cauchemar : sadisme de la part du barreur, punition collective, soumission... et la peur qui empêche d'agir.
Pour la beauté des yeux et des oreilles, le spectacle est ponctué par le ballet des rames, rythmé par No square.
Magique comme une part de rêve...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire