samedi, 22 septembre 2007

KVC

KVC n'est pas ici le Koninklijke Voetbalclub de Westerlo proche d'Anvers (qui a ses supporters), non KVC c'est le Karin Viard Connection !
L'année cinématographique avait presque commencé cette année avec Les ambitieux, où Karin Viard tenait la vedette aux côtés d'Eric Caravaca (sujet qui mériterait à lui tout seul deux ou trois "post"). Le film vu aux Champs-Elysées en janvier n'a vraisemblablement pas été exporté jusqu'en Suisse romande. Milieu littéraire parisien décrit sans concession : un vrai régal !

Avant le grand succès public des Randonneurs en 1997 Karin Viard a joué des films tournés par des femmes. Je me souviens de Max et Jérémie de Claire Devers et du Fils préféré de Nicole Garcia. Puis, elle fut dirigée par le genevois Alain Tanner dans Fourbi et là impossible de dire si Valentin Rossier lui donne la réplique... - il me faudra donc revoir le film !!! -.
Actuellement, sur les écrans, on peut apprécier l'actrice diversement. Dans La vérité ou presque de Sam Karmann qui réunit André Dussolier et François Cluzet, KarinViard joue une journaliste survoltée, forte et attentive qui partira grâce à l'écrivain parisien (Dussolier) sur les traces d'une chanteuse lyonnaise des années soixante : Pauline Anderton. Jazz, littérature, traboules lyonnais et histoires de couples.
Le second film c'est La face cachée. Premier film de Bernard Campan qui joue aussi le rôle du mari de Karin Viard. L'ami, c'est Jean-Hugues Anglande qu'on revoit avec infiniment de plaisir. Rôle intimiste, difficile pour elle. La sensibilité du réalisateur apporte à cette histoire une grande part d'émotions et d'humanité... A vous de choisir s'il le faut !


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